Topic ouvert pour tout ce qui concerne le concert de Lyon le 28 Novembre 2011 (Affiches, presse avant et après, vos CR, photos, Setlist...etc) !

Tout ce qui concerne l'organisation se trouve dans la partie dédiée du forum :
www.lennykravitzonline.fr/forum/viewtopic.php?pid=74299#p74299

Article sur le site de Lyon-France :

Une toute nouvelle scène et une production novatrice feront la particularité de cette tournée intitulée
« Black and White Europe ». Lenny y interprétera tous ses tubes et présentera son nouvel album.
Lenny Kravitz, artiste récompensé à quatre reprises aux Grammy Awards, est heureux d’annoncer la
sortie de son nouveau single « Stand », premier extrait de son neuvième album studio très attendu,
BLACK AND WHITE AMERICA (Atlantic Records, Rodrunner). Ce nouvel opus, le premier sur un
nouveau label, succède à huit albums vendus à plus de 35 millions d’exemplaires dans le monde.
Dans la foulée de ce nouveau single, Lenny Kravitz a confirmé une grande tournée qui sillonnera l’Europe en octobre/novembre 2011.
En plus de ce nouvel album, et, suite à sa récente apparition dans le film « Precious » nommé aux
Oscars, l’artiste a annoncé qu’il avait été retenu pour le rôle de Cinna dans l’adaptation
cinématographique très attendue du roman de Suzanne Collins : The Hunger Games.
Cet album de Lenny Kravitz, le premier en près de 3 ans, est une fusion réussie entre des influences à
la fois rock et funk, portée par les riffs de guitare si particuliers et le sens mélodique inné qui sont sa
marque de fabrique depuis plus de 20 ans.
Enregistrées aux Bahamas et à Paris, la voix et la guitare de Lenny n’ont jamais été aussi puissantes
et n’ont jamais autant réussi à retranscrire sur un album l’énergie qu’il dégage lors de ses concerts.
Lenny a écrit, produit et arrangé les 16 titres de cet album grâce à ses multiples casquettes et ses
talents de musicien multi-instrumentiste.
Considéré comme un des artistes rock les plus importants de son époque, Lenny Kravitz a su
transcender les genres, les styles, les classes et les races grâce aux influences musicales variées
(essentiellement la soul, le rock et le funk des années 60 et 70) qui nourrissent son oeuvre et sa
carrière depuis plus de 20 ans. Entre 1999 et 2002, il a gagné consécutivement quatre Grammy
Awards, détenant ainsi le record de victoires dans la catégorie « meilleur artiste masculin » (avec les
titres « Dig in », « Again », « American Woman » et « Fly away »).

Source : www.lyon-france.com/Agenda-des-evenement...Lyon-7eme-2011-11-28

Bel article! Merci Fred .... et surtout VIVEMENT LE 28 NOVEMBRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

On en sera aussi !!!
Ça parait encore si loin ....

UP !

www.local.fr/sortir/lyon/lenny-kravitz-666677.htm

UP !

À J-6, petit article de mise en chauffe pour convaincre les Lyonnais de s'arracher les dernières places (s'il en reste… ^_^). Comme le site culturel qui héberge mon blog a des petits soucis, vous avez droit à la primeur…

[large]Lenny Kravitz en concert à Lyon le 28 novembre[/large][large][/large]

Lenny Kravitz se produira en concert à Lyon le lundi 28 novembre. Un conseil : ne le ratez pas !
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En 2009, Lenny Kravitz avait marqué le vingtième anniversaire de son premier album, “Let Love Rule”, par une formidable tournée. Deux ans plus tard, le chanteur new-yorkais revient à nouveau en France avec un nouvel album, “Black and White America” (chez Road Runner), et surtout un show absolument époustouflant. Lundi 28 novembre, la halle Tony-Garnier de Lyon peut s’apprêter à rugir de plaisir. De la première partie à l’incontournable final sur son hymne à l’amour “Let Love Rule”, analyse de ce bijou de spectacle vivant déjà vu à deux reprises cette année.

Plein les yeux et les oreilles
Avec pas loin de dix concerts de Kravitz au compteur, on pouvait penser avoir fait le tour de la question. Erreur ! Ce “Black and White America Tour” repousse encore les limites avec tout d’abord une “set liste” proposant une sélection des plus grands tubes de l’artiste. Du pain béni pour toutes celles et tous ceux qui adorent “Fly Away”, “Always on the run”, “Where we are runnin”, “American Woman”, etc. Certes, on peut regretter l’absence de certains titres extraits du nouvel album, mais – l’ambiance aidant -, on oublie très vite ce détail pour savourer chaque minute du spectacle. Frissons garantis.
À ce déluge de décibels, ponctués d’excellents solos instrumentaux, s’ajoute la dimension visuelle du concert qui constitue un autre atout de poids. Au-delà des jeux de lumière, toujours réussis, Kravitz s’appuie sur trois écrans géants, deux latéraux et un central, qui illustrent certaines chansons par des images psychédéliques et d’autres tournées en direct. Bref, on en prend plein les yeux et les oreilles (un conseil, n’oubliez pas vos bouchons anti-bruits, ndlr ^_^).
Point d’orgue de ce dispositif : la diffusion du clip de la chanson “Black and White America”, durant lequel le public découvre une série de photos personnelles de Lenny : de sa naissance à ses débuts. Une véritable plongée dans son intimité qui illustre bien ses multiples sources d’inspiration, lui le fils d’une comédienne noire américaine et d’un producteur juif russe…

Une relation privilégiée avec le public
Lenny Kravitz a une bonne mémoire : il se souvient que c’est en France, lors du festival des Transmusicales à Rennes en 1989, qu’il a connu son premier véritable succès. Depuis, le New-Yorkais a tissé une relation particulière avec le public français qui le lui rend bien. Ainsi, le site www.lennykravitzonline.fr, animé par plusieurs passionnés répartis dans tout le pays, est devenu récemment le forum officiel de Lenny en France et compte quelques “coups” à son actif : organization d’un concours pour faire gagner des places de concerts, participation à des emissions de télévision (“Taratata”, “Le Grand Journal”), édition d’un Road book sur la tournée 2009, etc. Mais pas besoin d’appartenir à ce “French Board” pour apprécier le show de Kravitz : le chanteur fait systématiquement le tour de la salle pour venir à la rencontre de son public. Si ce bain de foule peut mettre son staff sur les dents pour des questions évidentes de sécurité de l’artiste, ces quelques minutes de douce euphorie montrent à quel point Kravitz reste une star internationale très accessible. À l’écoute de son public, en communication permanente avec lui, tantôt en anglais, tantôt en français, il est capable aussi bien de chanter “I belong to you” pour célébrer le 30e anniversaire d’une fan lilloise, que de recevoir quelques fans en backstage malgré la fatigue et le départ pour rallier la prochaine étape de sa tournée. Un grand Monsieur, donc, qui mérite le respect de chacun tant pour la longévité de sa carrière (8 albums édités en 22 ans), son efficacité (35 millions d’albums vendus dans le monde, 4 Grammy Awards consécutifs pour mémoire) et sa créativité tous genres confondus (rock, funk, blues, reggae et même electro…).
N’en déplaise à Kévin Muscat (du mensuel Lyon capitale, ndlr), Kravitz a fait un sacré bout de chemin depuis l’album qu’il a composé pour Vanessa Paradis, en 1992. Il serait temps d’oublier les sempiternels clichés dont on l’affuble, par méconnaissance ou mépris, pour s’intéresser à ses textes et ses mélodies.

Les meilleurs musiciens
Par ailleurs, la tournée “Black and White America” donne à voir l’une des plus impressionnantes formations avec laquelle Kravitz a pu se produire ces dernières années. D’un côté, on se réjouira de la présence de ses musiciens les plus fidèles : Craig Ross, le phénoménal “guitar hero” et complice de longue date, Harold Todd, un saxophoniste au souffle incroyable, George Laks, LE spécialiste des claviers, ou encore Franklin Vanderbilt Junior, à la batterie. De l’autre, Kravitz a étoffé son groupe avec Gail Ann Dorsey, bassiste de David Bowie durant 15 ans (!), un trompettiste français, Ludovic Louis, au feeling affolant, et Gabrial Mac Nair au trombone. Et tout ce “petit” monde joue sa partition à l’unisson avec un indéniable plaisir sur scène. De la première à la dernière chanson, leur complicité est évidente. Et le final sur “Let Love Rule” en donne un bel apercu… Durant pas loin de 15 minutes d’anthologie !

L’art de choisir une bonne première partie
Mais pour porter le public aussi haut, il faut avant tout un groupe capable de mettre l’ambiance dès l’ouverture des portes. Kéziah Jones, Skunk Anansie, Cree Summer, Nikki Kasta, Chris Cornell, etc. Lenny Kravitz a toujours su choisir de bonnes, voire d’excellentes premières parties pour chauffer la salle. Cette fois, il frappe encore plus fort en proposant Raphael Saadiq, un “Soul Man” à l’énergie débordante et très bien accompagné. En l’espace de quelques titres, son groupe “met le feu” que l’on connaisse ou non son répertoire. La grande classe.

Jamais deux sans trois. Après Montpellier, puis Lille, un nouveau concert de Lenny se profile donc à Lyon dans le cadre de cette tournée 2011. Autant rester serein : le meilleur concert de Lenny Kravitz est toujours le prochain…
Lundi 21 novembre, Jour J moins sept. Le compte à rebours a commencé…

© Bruno Sleepless

Bruno , quel plaisir de te lire !!!! :love: :love: :love: :love: :love:

Merci Bruno :top:

Chapeau bas Monsieur !!!! A bientôt !!!

Merci à vous tous !
L'article est en ligne sur www.petit-bulletin.fr/lyon depuis ce matin. Rubrique "Musiques", Blog.

Bon concert à vous tous !!!!!!

Merci ! C'est parti !

"Come on and get it !"

De tout coeur avec vous!!!!!!!!!!!!! Profitez bien les amis!!!

[large]Lundi 28 novembre, Lyon a rugi de plaisir avec ce concert de Lenny à la Halle Tony Garnier. Récit.[/large]

Du premier titre de Raphael Saadiq à l'incontournable "Let Love Rule" de Lenny, le public lyonnais a crié, tapé dans ses mains, chanté à plein poumons, sauté sur place, etc. Froids, les Lyonnais ? Pas ce soir en tout cas ! Après une telle débauche d'énergie, la foule aurait dû crier grâce. Comment expliquer alors que l'on ne ressente aucune fatigue à l'issue de ce show exceptionnel de générosité, d'harmonie et de complicité avec les artistes présents sur scène ? Au contraire, on se sent regonflé à bloc. Ce soir, une fois de plus, Lenny a emmené la foule au septième ciel avec toute son énergie, son plaisir d'être là, au milieu de sa "tribu" de musiciens, souriant, communicatif. Bref, heureux. Comme nous.

Du bonheur à l'état pur
À peine sorti de la salle, on n'en revient toujours pas. On connaît la set liste par coeur ("Push" a fait son apparition en version acoustique), mais à chaque première note, le corps est parcouru de frissons et la machine s'emballe, les paroles reviennent en tête spontanément. Le rythme est soutenu, les tubes défilent, espacés par quelques courts moments durant lesquels Lenny communie littéralement avec son public, le remercie du fond du coeur et va même jusqu'à finir à genoux. "Merci de me donner la force, de me porter quand ça ne va pas". On pourrait lui répondre la même chose. Sans lui et son charisme, notre vie n'aurait pas la même saveur ; sans les solos instrumentaux des uns et des autres, nous n'aurions aucune idée de ce que signifie l'expression "toucher au sublime".

Une musique universelle
Ce soir, Lenny, Craig, Franklin, Harold, George, Gabrial, Ludovic, et bien sûr la sublime Gail Ann ont donné tout ce qu'ils avaient dans le ventre pour nous arracher à notre quotidien et nous faire vibrer comme rarement pendant plus de deux heures. Qu'ils soient ici remerciés pour nous avoir gâtés à ce point. Du répertoire habituel (Fields of joy", "Mr Cabdriver", "Fly away", etc.) aux interprétations impeccables, il y avait de quoi écraser sa larme face à un tel déferlement de sensations. Comment ne pas être touché par "Stand by my woman" quand a connu (ou connaît) des problèmes de couple ? Comment ne pas exploser en plein vol quand on chante à tue-tête "Fly away", et j'en passe. La musique et les mots de Lenny nous touchent tant car ils touchent eux-même l'universalité ; on dirait qu'il les a écrites pour nous…

Une plus-value essentielle : les rencontres avant et après le concert
Présents en force - au premier rang, bien sûr ^_^, la vingtaine de French Boarders a fait le job entre Saône et Rhône : relances du public, applaudissements, clins d'œil aux musiciens.
Au-delà des émotions que procure le concert, la plus-value essentielle de cette soirée reste les nombreux échanges entre les Forumers (premières retrouvailles depuis 2009 pour certains, première rencontre tout court) et avec d'autres spectateurs aux profils très différents. Je pense notamment à Charlotte dont c'était le tout premier concert de toute sa vie (pas mal pour un début ! ^_^) ; à Florence p, inscrite depuis peu sur le forum ; à Émilie et Karim qui trépignaient sur leur siège en gradin ou encore Geta et Ruben qui garderont - comme tous les autres - un souvenir ému de ce show. Sans oublier Pascal, Mélody, Manu, etc. Whaou !

Parenthèse enchantée
Après avoir attendu très longtemps le Jour J, puis l'ouverture des portes, le public a été saisi par "Come on and Get it" qui donna le ton d'entrée. Le temps d'une (longue) parenthèse enchantée, le voilà en train de chanter "Let Love Rule" et d'assister au triomphe de Lenny alors en plein bain de foule. Des sourires radieux défilent sur les écrans géants tandis que les musiciens "déroulent" une version inédite exceptionnelle. Oui mais, on le sait, "LLR" signifie aussi la fin du concert. "Déjà ?!", s'exclame Anne-Fllo avec, on le sent, une pointe de regret. Eh oui, déjà. Toutes les meilleurs choses ont une fin, c'est comme ça.

Pour quelques-uns, l'aventure continue ce mardi 29 novembre au POPB De Paris-Bercy ; qu'ils en profitent bien (et c'est ce que je leur souhaite). Pour tous les autres, une nouvelle échéance se profile à l'horizon : le concert du 26 juin 2012 à Bercy… en espérant que Lenny sera programmé dans au moins un festival cet été. @ suivre de près !

Let Love Rule

PS : @+ pour quelques "bonus"… ;-)

quel plaisir de lire tout cela :top::top::top:

merci Bruno =)

j'espère ce soir à Bercy avoir la version acoustique "Push" =)

Quel superbe article il m'a fait revivre mon concert de Nantes MERCI =)

Vivement juin 2012 ça parait si loin...

Super Bruno MERCI !!! à très vite !!!!

Merci de nous faire revivre quelques heures après toutes ces émotions !!
C'était un concert inoubliable, à quelques mètres de Lenny, et portée par un public en pleine communion !!
Un Lenny infatigable, un Lenny remerciant le public lyonnais à genou, un Lenny grandiose, et des musiciens au top de leur art...
Que j'aimerais être à Bercy ce soir pour connaître à nouveau ce mélange d'émotions et de partage !!!
A ceux qui y seront : profitez !!! criez !!! hurlez !!! et envoyez-lui des tonnes d'amour !!!

Hello ! It's Fabienne sur son petit nuage et qui ne veux pas redescendre !! :coeur::coeur::coeur::coeur::coeur:
Un concert exceptionnel, j'ai adoré R. Saadiq il est génial
J'étais pile en face de Franklin, on arrêtait pas de se faire des sourires, il rigolait c'était extra
et alors Lenny ................. :coeur::coeur::coeur::coeur: que dire de plus !!!!!!
en tout cas ravie d'avoir revu Clarisse (encore désolée pour ton gant :gene::eheh:), Karen et leurs chéris respectifs =) et d'avoir pu rencontrer d'autres membres !
je suis encore toute chamboulée et surtout exténuée :D, d'autres détails et photos plus tard .................

Merci de partager ces moments magiques:top:

Effectivement, que dire de ce concert débordant d'énergie et de communion entre Lenny et son public ... Un moment vraiment inédit (les membres du french board aussi ont communié entre eux)...
La petite dédicace au french board (désormais traditionnel à Lyon) sur "Believe" fut un vrai moment précieux.
Tout comme Fabienne, d'autres choses à suivre ...

bientot l'audio du concert

J'ai dévoré le CR.
Merci beaucoup d'avoir su, au travers de mots simples mais oh ! combien appropriés, nous faire partager l'émotion et la joie des amoureux de Lenny.

J'espère également rencontrer les membres qui seront présents le 26/06.

Mille mercis..... :coeur::coeur:

Et continue de nous faire vivre encore de si beaux moments :salut:

Merci pour ce retour du concert de Lyon. A chaque concert de LK, il se passe quelque chose d'unique et ça c'est extraordinaire. Je souhaite à tout le monde d'assister au moins une fois dans sa vie à un concert de Lenny Kravitz.