Concert pour lequel , rappelez-vous , il y avait un concours que malheureusement personne du forum n'a gagné


Plus rock, moins soul
MARC-ANDRÉ LEMIEUX, MÉTRO
27 octobre 2008 03:18

C’est un peu plus Jimmy Hendrix que James Brown qui s’est présenté au Centre Bell hier soir.


Lenny Kravitz était de retour à Montréal après une absence de plus de 10 ans. Nul besoin de souligner que les plus grands fans du chanteur l’attendaient avec impatience, d’autant plus que celui-ci se produisait devant une foule qui avait initialement prévu célébrer ses retrouvailles avec le rockeur l’hiver dernier. Ce concert avait été annulé à cause d’une bronchite de la star.


C’est avec deux chansons tirées de son dernier album, It Is Time for a Love Revo­lution, que Lenny Kravitz a ouvert le spectacle. Une entrée en matière plus rock que soul, à l’image de la plus récente offrande de l’auteur-compositeur. À la guitare pour Bring It On, il s’est installé au clavier pour une furieuse Love Revolution. Polyvalent, Lenny Kravitz? Sans l’ombre d’un doute. Le chanteur en a même remis en milieu de sa prestation en prenant place à la batterie, le temps d’un jam bien senti – quoiqu’un peu trop long – avec ses sept musiciens.


Même si le dernier opus du chanteur a été bien reçu par la critique, ce sont les vieux titres du guitariste qui ont le plus soulevé les 7 000 spectateurs. Extrait de Mama Said, la joyeusement hippie It Ain’t Over ‘Till It’s Over, nous a séduits une fois de plus. La pièce a aussi mis en valeur le très joli fausset de l’artiste.


Le rythme du concert a considérablement ralenti en milieu de soirée.


La section des cuivres s’est laissé aller sur Dancing ‘Till Dawn, alors que les guitares ont volé la vedette sur I’ll Be Waiting, une ballade que Kravitz avait pourtant bien entamée seul au piano.


La finale promettait cependant un rock plus musclé avec entre autres des reprise d’American Woman, de Fly Away et, bien entendu, de Are You Gonna Go my Way.

Bon, on sent que le gars n'est pas super fan de Lenny Whatever...
Il s'est fait ch*** pendant les jam et on sent que Lenny est un peu fatigué de sa tournée... Bon, maintenant on sait pourquoi le Canada n'est pas un lieu de prédilection pour Lenny (10 ans d'absence...) Mais à vaincre san péril...

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LENNY KRAVITZ
Rocker et entertainer
Bruno Lapointe
Le Journal de Montréal
27-10-2008 | 08h46

Sept mois après un premier rendez-vous manqué, le rockeur américain Lenny Kravitz a mis le feu aux planches du Centre Bell hier soir. Ses fans l'ont attendu patiemment. Et ils en ont été récompensés. Généreusement, même.

Le Centre Bell bouillonnait hier soir. À quelques minutes de l'arrivée de Lenny Kravitz sur scène, la foule de quelque 7000 fans commençait visiblement à s'impatienter. Il faut dire qu'elle attendait son idole depuis déjà longtemps.

Son passage, annoncé pour le mois de mars dernier, avait dû être reporté. Le rockeur souffrait alors d'une bronchite.

Des fans fidèles

Mais ses fans ne lui en ont pas tenu rigueur. Dès son apparition, Lenny Kravitz a eu droit à un accueil digne des plus grands.

Un accueil à la hauteur de son talent, quoi ! Sur la scène enfumée, il est apparu, lunettes de soleil sur le nez, guitare en main. Hystérie dans la salle. Le rockeur est en forme. Et ses fans aussi.

Ne perdant pas de temps, il a ouvert le bal avec Bring It on, une de ses plus récentes compositions. La foule s'est levée d'un bond pour se déhancher sur les rythmes rock de son idole.

Cette tournée de Lenny Kravitz a pour but de faire connaître les chansons de It is Time for a Love Revolution, son huitième album studio, paru en février dernier.

Le rockeur a pourtant tôt fait de se payer une petite virée dans le passé; ses fans ont entonné avec enthousiasme son Dig in, frappant des mains à l'unisson, puis se déhanchant avec enthousiasme sur It Ain't Over Till It's Over. De beaux moments de complicité entre la star et son public.

Un bel échantillonnage

Un seul concert représente bien évidemment un trop court laps de temps pour balayer sa discographie entière, qui s'étire sur près de 20 années, mais Lenny Kravitz a bien choisi ses titres, proposant ainsi un échantillonnage bien satisfaisant.

De Are You Gonna Go My Way à American Woman, en passant par Fly Away, Lenny Kravitz s'est fait maître de la scène -et de la foule - du Centre Bell.

L'auteur-compositeur-interprète de 44 ans ne s'est pas fait prier pour en mettre plein la vue. Entouré d'une poignée de musiciens, il a visiblement redoublé d'efforts afin de conquérir son public. Troquant par moments sa guitare pour le clavier, il s'est donné corps et âme. Tout ça pour ses fans.

Et ils en ont redemandé.

À vrai dire, Lenny Kravitz n'est pas qu'un simple rockeur: il est un véritable entertainer. Il roule sa bosse dans le métier depuis la fin des années 1980.

Et on souhaite le voir continuer ainsi encore longtemps. Très longtemps.

Excellentes critiques

Ouais l'important est d'avoir un panel objectif de tout ce qu'on peut penser de cet artiste : même en étant moins sympa vs notre regard de fan, la critique est assez bonne.

Oh la la ca me donne trop envie moi! Lenny en jam à la batterie!!!! J'aimerais trop voir ca! Vivement qu'il revienne chez nous!!!!!

Il le fait une paire de fois... Son grand jeu est de piquer les instruments de ses batteur et bassiste... (notre grand plaisir : voir Tonny avec une lueur de haine dans les yeux avec un pauvre tambourin dans les mains)
Par contre, pas touche à la section cuivre, ni aux joujoux de Craig !

Lo lenny a la batterie c chouette , mimi tt plein..mais apres avoir vu cindy de si pres c pas comparable du tt!
oh cindy revienssssssss! lol

Lenny est réputé pour être multi instrumentiste... Euh j'ai un trou, de mémoire, il a commencé plutôt par la batterie si je ne m'abuse ? :
Mais comparé à une Cindy... Ahhh... Sans commune mesure...La main de fer dans le gant de velours... :love: