:grat: Ouai c'est vrai la setlist est vraiment figée. A la longue ça risque de lasser les musiciens...

flowers4zoe wrote: Pô top pour la crédibilité du prof les fusils hypodermiques... T'as pensé au flash ball ?
Sinon, Nana, ben c'est très bien comme traduction ?! Tu t'en sors très bien !
Ysabel, attention, même avec tes excuses foireuses de maîtresse, tu risques de perdre ton titre de traductrice officiel !
Enjoy everybody! C'est va-can-ces ce soir ! :love:

Je suis un vrai fauve en classe - enfin pas seulement :P... quand je m'énerve il n'y a plus personne... il m'arrive même d'aller secouer des grands cons dans le couloir et ça moufte pas.

Pas besoin de flash ball, la craie suffit quand elle explose

allez, promis demain matin l'article sera traduit... j'ai commencé cet après-midi qd les élèves bossaient mais bon, ils m'interrompent sans cesse pour poser des questions !

On a pas idée de poser des questions pendant une traduc'

C'est vrai quoi ! il y a des priorités

Le groupe reprend des standards de la pop et du rock comme les Floyd ou Jackson, c'est quand même une grande nouveauté! S'il pouvait nous offrir ça en mai prochain, je serai carrément comblé!

allez, comme promis... mais bon l'article est bizarre, à la fois élogieux et critique. On sent l'auteur admiratif pour l'énergie de Lenny, la qualité de ses chansons - un fan de Craig Ross. Mais j'ai l'impression qu'il n'apprécie pas vraiment l'homme et son côté surprenant qui se laisse à improviser des trucs duranr son concert, à divaguer en fonction de son envie.

Lenny Kravitz sait comment se mettre en scène. Mais aussi pas mal de …

Le rocker funky, psychédélique et rétro de 44 ans, qui a dû reporter sa tournée du printemps à cause d’une méchante bronchite, a bien compensé le retard la nuit dernière grâce à un spectacle énergique, franc et fougueux mais souvent étrangement flottant au Air Canada Centre.

Il y avait de tout et même une demande en mariage.

En débutant énergiquement avec une version longue – achevée par un solo de saxo – de Bring It On extraite du dernier album It Is A Time for a love revolution, Kravitz montra rapidement qu’il s’apprêtait à jouer longuement et avec ardeur durant une spectacle de 2 heures parcouru de nombreuses improvisations musicales.

Revêtu de noir de pieds en cap, pantalons de cuir, boots et une chemise à poils (oui, vous avez bien lu), Kravitz se débarrassa rapidement de ses lunettes et de sa guitare après l’ouverture. Il laissa la lourde besogne à Craig Ross, le furieux guitariste de Toronto – un des plus grands. Durant le numéro suivant, le titre phare Love Revolution, il dansa follement autour de la scène en agitant – tour à tour – un tambourine, jouant du clavier, bousculant à coup de pieds le tabouret du piano dans le feu de l’action.

« C’est génial d’être de retour à Toronto », dit Kravitz, qui était rejoint sur scène par un groupe de sept musiciens dont trois à la percussion (l’explosif batteur Cindy Blackman manquait furieusement dans l’action).

A partir de là, Kravitz se retrancha dans ses vieux titres, nous offrant Always on the run, Dig in, Fields of Joy et It ain’t over Till it’s over – cette dernière provoquant le premier vrai chœur avec le public de la soirée – avant de revenir à des chansons plus récentes (et on l’a dit affaibli).

Par exemple sur sa nouvelle chanson, dancing ‘till dawn - dont la monumentale pulsation disco avec solos de saxo et de basses rappelait certes quelque chose d’autre mais n’offrait pas assez de temps musicalement parlant – le chanteur baratinait les femmes du premier rang. Il introduit des bribes de Another Brick in the wall des Pink Floyd et de Billie Jean de Mickaël Jackson.

Ce vagabondage dénué de sens se poursuivit par le très sincère Be, avec une autre version longue de saxo sur Stillness of Heart avec un bel arrangement acoustique de Ross mais suivie de quelques divagations stupides de Kravitz sur « comment c’est d’être une rock star ». Arrivait alors la récente I’ll be waiting avec le rocker jouant de manière rafraîchissante et agréable au piano installé sur le bord de la scène tandis que Ross nous livrait un solo de guitare intense alors que la chanson arrivait à son point culminant.

Mais c’est à la troisième parti du spectacle que nous vîmes, avec soulagement, Kravitz revenir bien équipé.

Pour commencer sur la vieille histoire de Mr. Cab driver, qui fut suivie par d’autres morceaux galvanisants comme Where are we running, Fly away – ce dernier provoquant des « Lenny ! Lenny !». Le spectacle avançait avec Are you gonna go my way et l’estimable American Woman.

Et juste avant une entraînante version de Let Love Rule – qui vit Kravitz sauter hors de la scène et parcourir le public en serrant et embrassant ses fans tout en battant l’air de son poing – un jeune couple de Toronto vint sur scène et l’homme mit un genou à terre et demanda la jeune femme en mariage. Elle semblait accepter en enfilant l’anneau et elle embrassa son futur.

« Bien, c’est magnifique », dit Kravitz, qui leur donna l’accolade.


le dernier paragraphe, que je n'ai pas mis (et traduit) est sur la première partie du concert.

mmmh... déçu et à la fois pas contre ce que le journaliste dit... c'est pas forcément très "logique" ce mélange musical, non ?

oui mais un concert n'est pas une dissertation :P on peut sauter du coq à l'âne... :yes: