Compilation des articles de presse - hors interview

Gala.com

[large]ON NE PARLE QUE DE ÇA | LENNY KRAVITZ EN MODE BLACK AND WHITE[/large]
Le chanteur sort son neuvième album



Black and White America, le nouvel album de Lenny Kravitz, sort lundi dans les bacs. Un projet qui permet à l’artiste de revisiter 50 ans de musique américaine.

Trois ans après It is time for a love revolution, Lenny Kravitz nous revient avec un neuvième album baptisé Black and White America. Un opus long de seize titres au cours desquels le chanteur guitariste passe en revue 50 ans de musique américaine du funk au rap en passant par le rock et la soul, des courants qui l’ont bercé, influencé, inspiré.

Au départ, Lenny Kravitz s'orientait vers un projet à tendance funk, mais au fil de l’écriture il a abordé de nouvelles pistes, emprunté de nouvelles routes faisant de Black and White America un melting pot sauce Kravitz. Il confesse ainsi «c’est mon album le plus varié tant du point de vue de la musique que des paroles». Maîtrisant le funk, le rock et la soul sur le bout des doigts, pour s’essayer au rap et au dancehall, l’interprète de Always on the run a fait appel à des pointures comme Drake et Jay-Z, présents sur deux titres, Boongie drop et Sunflower.

Black and white America, enregistré pendant deux ans entre Paris et les Bahamas, aborde des sujets comme les femmes, mais aussi la politique. Dans la chanson qui a donné son titre à l’album, il parle du racisme dont il a tant souffert étant enfant. C’était dans les années 70, une période au cours de laquelle «les gens criaient des obscénités et crachaient sur mes parents». Pour illustrer la pochette du CD, Lenny Kravitz a d’ailleurs choisi une photo de lui datant de cette époque. On le voit tout jeunot mais le regard noir, le visage aux couleurs du mouvement peace and love.



La sortie de Black and White America était très attendue, mais c’est surtout le passage sur scène de Lenny Kravitz que les fans scrutent avec impatience. Les Français seront comblés avec le passage d’une tournée cet automne et un Bercy prévu le 29 novembre.

[small]Jean-Christian Hay
Lundi 22 août 2011[/small]

France2 - Publié le 21/08/2011 | 19:18
[large]Lenny Kravitz revisite 50 ans de musique[/large]
[small]Par FTV (avec AFP)[/small]


[small]Lenny Kravitz à Los Angeles en février 2011.
AFP - Getty Images - Kevork Djansezian[/small]

Sur son neuvième album publié lundi 22 aout, Lenny Kravitz jongle avec les styles avec plus ou moins de bonheur
Au départ, ce disque baptisé "Black and White America", était un projet funk, avant que l'inspiration l'emmène sur d'autres chemins, explique le chanteur.

Au final, "c'est mon album le plus varié tant du point de vue de la musique que des paroles", estime Lenny Kravitz, qui y revisite 50 ans de musique, du funk au rock des années 70.

Régulièrement raillé par la critique pour sa tendance à lorgner davantage vers le passé de la musique que vers son futur, le chanteur s'essaye même au rap et au dancehall, avec un résultat mitigé.

C'est dans les morceaux funk, à l'origine du projet, que le musicien est le meilleur: "Black and White America" qui sonne comme un classique de Sly Stone avec sa ligne de basse chaloupée et ses touches de cuivres, mais aussi les moites "Liquid Jesus" et "Superlove" aux notes chaudes et langoureuses.

Pour ce disque long de 16 chansons enregistré durant deux ans entre les Bahamas et Paris, ses deux ports d'attache, Lenny Kravitz s'est offert des featurings de luxe, et notamment celui de Drake sur "Sunflower" et de Jay-Z sur "Bonngie Drop".

Les femmes restent encore le thème central des chansons de ce séducteur. Mais il aborde aussi des thèmes plus politiques. Il a écrit la chanson titre "Black and White America" après le visionnage d'un documentaire sur le racisme dans les Etats-Unis de l'après-Obama.

"Ces gens racontaient leur dégoût de ce que l'Amérique était devenue, leur dégoût d'avoir un commandant en chef noir. Ils voulaient que l'Amérique retourne 100 ans en arrière", explique Lenny Kravitz, né d'une mère noire et d'un père blanc dans les Etats-Unis des années 60.

A l'époque, celle de la photo de la pochette où il apparaît déjà en apôtre de l'amour et de la paix, "les gens criaient des obscénités et crachaient sur mes parents", rappelle-t-il. "La chanson parle à la fois de mon histoire et de la situation raciale dans ce pays. Peut-être que nous sommes en train d'évoluer, mais beaucoup de gens veulent s'accrocher à leurs vieilles idées", dit-il.

Ce touche-à-tout de 47 ans, lui, a fait voeu d'aller constamment de l'avant. Il travaille actuellement au design d'une tour de 50 étages à Miami. Toujours plus haut...

Lenny Kravitz entame une tournée européenne cet automne qui passe par la France en octobre (Amiens le 15 octobre, Strasbourg le 18, Montpellier le 20, Toulouse le 21, Nantes le 23, Lille le 24, Rouen le 29 etc...) et se termine par Paris (Bercy) le 29 novembre. Toutes les dates sur son site.

22/08 | 07:00 | Christian Eudeline
[large]Kravitz en noir et blanc[/large]

Lenny Kravitz livre « Black and White America », un album qui dénonce le racisme.

Lenny Kravitz habite entre Paris et les Bahamas, mais reçoit la presse à New York, dans un hôtel où Steven Spielberg a ses habitudes. Il aura quelques minutes de retard, termine son thé dans sa suite. Il doit encore se faire maquiller. Lenny est vêtu d'un pantacourt au-dessus de baskets montantes à fermeture Eclair portées façon chaussons. Sur n'importe qui d'autre, ce look confinerait au ridicule, mais voilà, Lenny Kravitz est une rock star. Son aisance naturelle en impose. Il pèse 30 millions d'albums et, surtout, il est l'un des rares à vendre des deux côtés de l'Atlantique une musique aux consonances rock.

Son neuvième album s'appelle « Black and White America », il confirme cette position d'héritier direct de Jimi Hendrix croisé de Beatles avec un gros zeste de Sly Stone et une pincée de James Brown. Lenny Kravitz est en pleine forme, ce qui lui permet d'aborder de manière plus posée l'un des grands maux de « l'Amérikkke », son racisme latent. « Mes parents formaient un couple interracial et, dès le début de leur histoire, ils ont compris qu'ils seraient toujours au milieu. Et je me rends compte que, presque un demi-siècle après, le racisme existe toujours. Ca me choque profondément. Je ne pense pas que ce soit forcément mon rôle en tant qu'artiste d'en parler. Mais, comme j'ai cela sur le coeur en ce moment, je ne pouvais l'éviter... »
Même si cela n'a rien d'un thème récurent dans ses disques, ce n'est pas la première fois que Lenny Kravitz aborde ce thème. Son premier tube « Mr Cab Driver » faisait déjà explicitement référence à ces chauffeurs de taxi qui accélèrent lorsqu'ils aperçoivent un client de couleur. Lenny doit prochainement incarner dans le film de Lee Daniels, « Selma », l'activiste Andrew Young, ardent défenseur des droits civiques.

Fierté

Son album porte en lui sa fierté. « Sur la pochette il y a une photo de moi à l'âge de sept ans, prise lors d'une manifestation pour la paix. Je regardais de vieilles photos et je suis tombé sur celle-ci qui est devenue tout de suite une évidence, mais rien n'était prémédité. En revanche, il est vrai que l'enfance est le temps de l'innocence. Comment peut-on encore être raciste ? Ce petit garçon n'a pas encore été confronté au racisme, il est heureux et profite pleinement de la vie. Oui, je n'ai que de bons souvenirs de cette période, j'y découvre les Jackson Five à la radio et dès lors je n'ai aucun doute sur ce que je veux faire. »

Enfant de la balle -sa maman tenait un rôle important dans une sitcom américaine et son papa était cinéaste -, Lenny Kravitz n'avait sans doute pas d'autre choix que de devenir musicien. C'est sans doute pour cette raison que son nouvel album se veut une célébration, de la vie, de l'amour, de cette musique qui le porte et de cette chance qui depuis toujours lui sourit. Un album qui déborde d'énergie. Au vu de la tournée internationale qui s'annonce, ça ne sera pas de trop.

[small]CHRISTIAN EUDELINE, Les Echos[/small]

excellent ! j'me disais aussi qu'il y avait un max de topics en + des infos disséminées dans le topic principal sur l'album ;-)

Du coup, je ne sais plus si on avait posté cet article...

Lenny Kravitz: une Amérique en noir et blanc
[small]Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 19/08/2011 à 15:00, mis à jour à 15:00[/small]


[small]Lenny Kravitz, se produit à Los Angeles, le 20 février 2011.
afp.com/Kevork Djansezian[/small]

Après trois ans d'absence, le chanteur sort son 9e album studio, Black and White America, ce lundi 22 août. Il y revisite différentes périodes de la musique américaine, du funk au rap.

En 2009, Lenny Kravitz rééditait son tout premier album, Let Love Rule. L'occasion de souligner ses 20 ans de carrière musicale. Mais il ne s'est pas arrêté pour autant. En juin dernier, il présentait son nouveau single Stand. Ce lundi 22 août, il sortira son 9e opus, Black and White America pour la première fois sous le label Roadrunner (Atlantic Records/Warner Music), qui sera suivi d'un tournée européenne cet automne.

Il y revisite de nombreux genres musicaux qui ont marqué les Etats-Unis de ces 50 dernières années: le rock des années 70 -dans Push-, celui des années 80 -avec Rock Star City Life-, la soul -Looking Back on love...
L'artiste a expliqué à la presse avoir commencé à travailler sur un album centré sur le funk, avant que l'inspiration ne l'emmène sur d'autres chemins. "C'est mon album le plus varié tant du point de vue de la musique que des paroles", estime le musicien, qui l'a enregistré pendant deux ans aux Bahamas puis à Paris, deux de ses ports d'ancrage.

Des thèmes plus politiques

Régulièrement raillé par la critique pour sa tendance à lorgner davantage vers le passé de la musique que vers son futur, le chanteur s'essaye même au rap et au dancehall. Lenny Kravitz s'est donc entouré de pointures, notamment Drake et Jay-Z avec lesquels il avait collaboré par le passé. Mais il est visiblement peu à l'aise dans ces genres et le résultat n'est pas au rendez-vous.

C'est dans les morceaux funk, à l'origine du projet, que le musicien est le meilleur: Black and White America sonne comme un classique de Sly Stone avec sa ligne de basse chaloupée et ses touches de cuivres, ou Superlove aux notes chaudes et langoureuses. Et, comme à son habitude, Lenny Kravitz évoque sur de nombreux titres l'amour et les femmes, avec un hommage appuyé aux Bahamiennes sur Boongie Drop.

Mais il aborde aussi des thèmes plus politiques. La chanson titre Black and White America a été écrite par Kravitz après le visionnage d'un documentaire sur le racisme dans les Etats-Unis de l'après-Obama. "Ces gens racontaient leur dégoût de ce que l'Amérique était devenue, leur dégoût d'avoir un commandant en chef noir. Ils voulaient que l'Amérique retourne 100 ans en arrière", explique le chanteur, lui-même né d'un couple mixte dans les Etats-Unis des années 60.

A l'époque, "les gens criaient des obscénités et crachaient sur mes parents", rappelle-t-il. "La chanson parle à la fois de mon histoire et de la situation raciale dans ce pays. Peut-être que nous sommes en train d'évoluer, mais beaucoup de gens veulent s'accrocher à leurs vieilles idées."

[large]Sorties CD: Keb Mo et Lenny Kravitz sont de retour[/large]
[large]tsr.ch - 17.08.2011 16:50 - mise à jour: 21.08.2011 11:03[/large]

http://www.tsr.ch/2011/08/17/16/58/3337201.image?w=480&h=270
[small]Keb Mo, le buesman de soixante ans, en est à son 10e album. [Kevork Djansezian - Keystone][/small]

Cette semaine trois stars américaines sont de retour dans les bacs: Keb Mo et son blues contemporain, Lenny Kravitz et son rock électrique, ou encore Vanessa Carlton et sa folk-rock truffée de piano.

Keb Mo, Kevin Moore de son vrai nom, sort "The Reflection", son dixième album studio. On dit de ce "bluesman" né à Los Angeles au début des années 50 qu'il parvient à faire vivre le blues ancestral au 21e siècle tout en lui insufflant un petit quelque chose qui le fait vivre avec son temps.

Et ça fonctionne, puisque l'Américain de soixante ans a déjà remporté à trois reprises le Grammy Award du Meilleur album de blues contemporain. Sur "The Reflection", on apprécie tout particulièrement l'impression qu'on ressent dès l'ouverture, grâce à la beauté de "The Whole Enchilada".

Du blues qui manque parfois de folie
Pour le reste de l'album, on pardonne un "Inside Outside" un peu répétitif, bien rattrapé toutefois par le joli duo "Crush On You", interprété avec l'artiste américaine de soul India.Arie. On aime aussi "My Baby's Tellin' Lies" (en duo avec Vince Gill), qu'on verrait bien au générique d'un film sympa dont l'histoire se déroulerait à New York.

Deux ans de fabrication pour cet album de douze nouveaux titres sur lequel Keb Mo s'autorise quelques collaborations tout à fait bienvenues. Bref, une musique calme et très plaisante, même si parfois, un tout petit brin de folie pourrait lui faire du bien.

A 47 ans, Lenny Kravitz n'a pas pris une ride. Sa musique non plus.
Lenny Kravitz est de retour
Le nouvel album de Lenny Kravitz donne envie de se bouger! Et ce dès le premier morceau, qui porte le même titre que ledit album, "Black And White America", avec des accents funk. Le disque contient également des chansons plus douces et lentes, comme "Looking Back On Love" et la mélodieuse "Dream".

Ainsi que des sons plus électriques et rock comme dans "In The Black", un titre plutôt réussi. Ce qui n'est malheureusement pas le cas de "Sunflower", un duo au son métallique dans lequel Lenny Kravitz semble en retard sur la mesure tout au long de la chanson. Vraiment dissonant.

Annoncé en mars dernier, ce 9e album présente seize morceaux inédits. Il est le premier que Lenny Kravitz publie avec son nouveau label, Roadrunner. Mais ne vous y trompez pas, fidèle à son habitude, le chanteur-compositeur de talent a tout fait: la musique, les paroles et les arrangements musicaux.

Ce n'est donc pas un hasard s'il a remporté quatre fois entre 1999 et 2002 le Grammy Award de la Meilleure performance rock masculine... Pour les fans suisses, notons que l'artiste multi-facettes se produira à l'Arena de Genève le 24 novembre prochain et le 26 à Zurich.

[small]Vanessa Carlton réitérera-t-elle le succès de son premier album?[/small]
Vanessa Carlton revient avec son piano
Révélée par le tube "A Thousand Miles", dans lequel elle jouait sur un piano mobile qui se baladait à travers des rues américaines (son pays), single-phare de son tout premier album, Vanessa Carlton revient avec "Rabbits on the Run", son quatrième disque.

Et cette jolie trentenaire n'a pas quitté son piano, son instrument de prédilection. Le disque offre dix nouvelles chansons, dont la notable "I Don't Want To Be A Bride" (un message à passer?), triste mais magnifique. On notera également la douce ballade "London", ou encore la mélodieuse "Fairweather Friend".

[small]Julie Mégevand[/small]

merci à toi pour toutes ces infos :top:

Super idée. Merci !!

Dans ELLE cette semaine :coeur:

Je l'avais vu, mais j'avais privilégié les articles post-sortie.
Merci Nana :top:

Dans le newsletter des utilisateurs d'iTunes :

Fred wrote: excellent ! j'me disais aussi qu'il y avait un max de topics en + des infos disséminées dans le topic principal sur l'album ;-)

Et un peu partout d'ailleurs... Mon bon sens d'ex fausse attachée de presse a décidé de remédier à tout ça :boss:

2 nouvelles critiques :

* sonicshocks.com/LENNY-KRAVITZ-Black-and-White-America.php
* ondarock.it/recensioni/2011_kravitz.htm - en italien, sortez le traducteur :-)

www.jeanmarcmorandini.com/article-206942...on-9eme-album.html-0
Critique de Morandini, pour ce que ça vaut !

The Italian review is not very positive, actually :-(

une p'tite interview
www.pbs.org/wnet/tavissmiley/interviews/...writer-lenny-kravitz

alors attention c'est pas gagné que ça marche c'est la première fois que je poste un lien ....:hein2:

Eh bien .... ca maaaaaaaaaaaaaaaarche!!!!! Merci et bravo !!!!!!!!!!!! :top::top::top::top::top:

béné wrote: Eh bien .... ca maaaaaaaaaaaaaaaarche!!!!! Merci et bravo !!!!!!!!!!!! :top::top::top::top::top:

arrrrrrrrrrrrrrrrghhhhhhhhhh!!!! ch'ui heureuse.....bref.... bon j'vais me coucher ......

(Excellente) Critique du site fashions-addict :




25/08/2011 - Le meilleur de Lenny Kravitz dans son nouvel album

En quittant Virgin pour Atlantic Records / Roadrunner Records, Lenny Kravitz a quitté une certaine routine créative pour s'exposer de façon plus personnelle. Depuis de nombreuses années Lenny a conquis notre coeur. En fait depuis son tout premier album "Let love rule" en 1989, qui est apparu à l'époque comme un vrai ovni. Personnage et rockeur attachant, un lien bien particulier unit Lenny Kravitz à la France, l'un des pays où il connait un grand succès depuis ses débuts. Sa collaboration avec Vanessa Paradis, son amour pour Paris, on fait de lui l'un des chouchous du public français. Aujourd'hui il amorce une nouvelle étape de sa carrière avec ce nouvel album intitulé " Black and White America ".

Lenny Kravitz a totalisé 35 millions d’albums vendus à ce jour et quatre Grammy Awards en plus de vingt ans de carrière. De quoi avoir une certaine assurance lorsque l'on compose un nouvel album. Mais Lenny n'est pas du genre à se contenter de bonifier les lauriers de la gloire. C'est le genre d'artiste à prendre des risques lorsqu'il propose un nouvel opus. Même si son style et sa façon de chanter sont reconnaissables dès les premières notes il arrive toujours à nous surprendre et c'est à nouveau le cas avec ce nouvel album. Groove, rock, balades, pop, ici Lenny Kravitz nous livre le meilleur de ce qu'il sait faire.
Bien que "Black and white America" soit avant tout un disque funk, on retrouve également de belles envolées de guitares, comme sur les tubes "Fly Away" et "Are You Gonna Go My Way", ce qui donne également une tonalité très rock à cet album. Des chansons comme "Rock Star City Life" et le premier single, "Stand" donnent à l’album une bonne dose de riffs puissants. La présence sur cet album de Jay Z est aussi un plus qu'on le remarque avec plaisir. Lenny Kravitz a encore des choses à dire avec sa musique et on adore ça. On est déjà impatient de le redécouvrir sur scène.

Source : fashions-addict.com/index.asp?ID=377&IDF=8369

Un autre article (je n'arrive pas à recopier le texte, la page doit être protégée... :colere: )
www.stars-actu.fr/2011/08/25/lenny-kravi...e-inspire-par-obama/

En voilà un qui n'y va pas de main morte :

neoboto.com/lenny-kravitz-black-white-camilero/

(Avec une belle erreur dans le titre qui casse tout l'effet)

Bon on ne sait pas trop si c'est du lard ou du cochon, au moins l'auteur est honnête.
Maintenant à chaque fois que je vais écouter LLR je vais penser à Calimero : Petits du monde entier, Unissons-nous !
Vraiment trop injuste !

Lenny Kravitz livre sa version de l’Amérique

| Les paparazzis qui l’attendent à l’entrée de l’hôtel espèrent le photographier avec son iPhone dernier cri muni d’un combiné rétro. On verra l’objet de toutes les convoitises plus tard, trônant sur le canapé aux côtés de Lenny Kravitz. Le rockeur américain faiseur de modes parle tranquillement de Black and White America,





Les paparazzis qui l’attendent à l’entrée de l’hôtel espèrent le photographier avec son iPhone dernier cri muni d’un combiné rétro. On verra l’objet de toutes les convoitises plus tard, trônant sur le canapé aux côtés de Lenny Kravitz. Le rockeur américain faiseur de modes parle tranquillement de

Black and White America,
son 9e album, de Martin Luther King et des tensions raciales dans son pays. «Ce n’est pas parce qu’il y a un président afro-américain que la conscience de tout le monde a évolué», affirme-t-il en terminant un lunch végétarien. «Nous avons parcouru un long chemin, et c’est magnifique, mais nous sommes encore loin du but. Il y a toujours des gens qui veulent aller dans l’autre sens.»

Après avoir longuement parlé d’amour sur son précédent disque, Lenny Kravitz a doté Black and White America d’un message politique et se lance dans une ode au métissage. « J’ai grandi dans l’Amérique noire et blanche. Mon père était Blanc et ma mère Noire. On m’a enseigné que la société ne me verrait que comme noir parce qu’elle a une vision limitée», explique le fils de feu Sy Kravitz, un producteur de télé d’origine ukrainienne, et de Roxie Roker, une actrice afro-américaine décédée en 1995. «Mais j’ai toujours fait en sorte que ça ne me touche pas.»

Concept album mis de côté
Black and White America est né des cendres de Negrophilia, l’album sur lequel travaillait Lenny Kravitz et qui traitait de la fascination des Français pour les artistes noirs. «J’ai mis cet album de côté. Je le finirai un jour, assure Kravitz. Mais quand j’ai commencé à écrire des nouveaux morceaux, j’ai réalisé que je n’allais pas dans la même direction que Negrophilia. Il y a du funk sur cet album. J’ai donc décidé d’aller dans une autre direction pour faire Black and White America.»

Ce nouvel album s’ouvre d’ailleurs sur une bonne dose de funk qui semble directement sortie de La Nouvelle-Orléans des années 1960-1970. On y perçoit l’influence d’artistes comme Allen Toussaint, producteur et musicien de légende qui tourne toujours à 73 ans. «Le funk est toujours en moi, explique Kravitz. Que le morceau tende un peu plus vers le rock ou pas, il y a toujours des éléments de funk dans le rythme. Ma musique parle d’amour, de paix, de Dieu, d’égalité et d’unité. J’adore La Nouvelle-Orléans. C’est une ville importante pour moi, qui m’a bien sûr influencé.

Basketball et design
Le musicien de 47 ans, qui vit entre Paris, New York, les Bahamas, Rio de Janeiro et La Nouvelle-Orléans, s’est investi l’année dernière aux côtés de Mos Def afin de lever des fonds pour les victimes de la marée noire en Louisiane. L’artiste engagé est aussi un as du marketing qui a un contrat avec la NBA, la ligue professionnelle de basketball aux Etats-Unis, et qui roule pour une célèbre marque de voitures américaine. Il a aussi une compagnie de design d’intérieur qui travaille en ce moment avec Philippe Starck, le célèbre designer français, sur un projet hôtelier à Miami. «C’est un grand honneur de travailler avec lui, glisse-t-il. J’apporte mon sens esthétique et ma manière de vivre. Il y a toujours une touche de rock’n roll dans ce que je fais, mais elle est très élégante et sophistiquée.»

Quand on lui demande ce que représente la marque Lenny Kravitz, l’homme aux 35 millions d’albums vendus répond en un mot: «La créativité.» L’artiste affirme également sa volonté de ne pas s’arrêter là: «Je pense que je dois continuer à grandir et à m’améliorer. Je veux maîtriser de nouveaux instruments. Je suis en train d’apprendre à jouer de la trompette.




Source : www.24heures.ch/lenny-kravitz-livre-version-amerique-2011-08-26

Une spéciale dédicace à notre Caribou Girl Nunk

Publié le 27 août 2011 à 09h52 | Mis à jour le 27 août 2011 à 09h52
[large]Lenny Kravitz: en noir et blanc[/large]



[small]L'auteur-compositeur et interprète de 47 ans revient sur ses sujets de prédilection, l'amour et les femmes, mais le séducteur se fait aussi plus engagé.
PHOTO FOURNIE PAR ATLANTIC RECORDS[/small]

[small]Stéphanie Vallet - La Presse[/small]

En 20 ans de carrière et après plus de trois ans d'absence, Lenny Kravitz revient sans doute avec son album le plus authentique. Intitulé Black and White America, il sera en magasin mardi et également pressé en version vinyle. En tournage en Caroline-du-Nord pour le film The Hunger Games, le mythique chanteur new-yorkais aux 35 millions d'albums vendus en carrière a répondu aux questions de La Presse.

La pochette de Black and White America donne tout de suite le ton avec une photo de Lenny Kravitz à l'âge de 8 ans, un signe de paix inscrit sur le front. Un cliché pris au cours d'une manifestation pour la paix à une période sombre de l'Amérique où des passants crachaient sur ses parents pour la seule raison qu'ils formaient un couple mixte (père juif russe et mère des Bahamas). L'auteur-compositeur et interprète de 47 ans revient sur ses sujets de prédilection, l'amour et les femmes, mais le séducteur se fait aussi plus engagé dans ses textes avec la chanson titre de l'album, Black and White America, inspiré du racisme persistant des États-Unis d'Obama.

«Cette chanson est le reflet de qui je suis. J'ai grandi avec l'histoire de mes parents et c'est encore là où on en est aujourd'hui, la discrimination raciale est toujours un grand enjeu et l'a toujours été. J'ai regardé un documentaire qui montrait des Américains racistes et haineux. Ils n'aimaient pas ce que l'Amérique était devenue et voulaient revenir au temps de la ségrégation. J'ai écrit cette chanson en réponse à ces personnes», explique-t-il.

Lenny Kravitz revisite 50 ans de musique et jongle avec les styles pour ce neuvième album studio qui flirte entre rock, soul, funk et même hip-hop grâce à des duos avec Jay Z et Drake. «Ça va un peu dans tous les sens. C'est du Lenny Kravitz!», s'amuse-t-il. «Ça montre vraiment toutes les facettes de ma personnalité. Mes collaborations sont arrivées tout naturellement. Quand j'ai écrit Boongie Drop, j'ai entendu la voix de Jay-Z dessus. Même chose pour Drake avec Sunflower. Je laisse toujours la musique me dire quels choix faire», précise-t-il.

Un album enregistré entre Paris et les Bahamas qu'il a créé en s'éloignant de la folie new-yorkaise pour revenir à l'essentiel. «Ça m'a pris environ un an et demi pour l'écrire. J'ai passé beaucoup de temps aux Bahamas où j'ai mon studio et j'y ai vécu une vie très simple. J'en avais vraiment besoin, il me fallait un peu de temps seul et au calme, à manger ce qui provenait de mon jardin et de la mer. Je désirais uniquement me concentrer à la musique, prendre le temps de vivre et de respirer. Je n'avais absolument aucune idée de ce dont je voulais parler quand je suis entré en studio, je savais seulement que je voulais faire un album double classique. Je désirais avoir un large terrain de jeu dans lequel je pourrais explorer, grâce à différents styles de musiques et d'émotions. Mes albums reflètent tous une certaine période de ma vie, mais c'est vrai qu'il y a quelque chose de vraiment spécial avec cet opus. Ça représente mon présent, c'est-à-dire une personne qui commence à être en paix avec beaucoup de choses de la vie».

Le chanteur commencera sa tournée mondiale en Europe à l'automne et promet à ses fans canadiens de ne pas les laisser en reste. «Je vais certainement aller au Canada, mais je ne sais pas encore quand. Je vais vraiment tout faire pour que ça soit au printemps ou en été. Quand je viens en hiver, ça finit toujours mal! Je ne performe pas bien dans les températures extrêmes!», s'amuse-t-il.

Un artiste touche-à-tout

Lenny Kravitz désire aussi passer plus de temps à produire la musique d'autres artistes. «Je commence à produire de nouveaux noms. J'aimerais aussi travailler avec Bob Dylan. Produire son prochain album en fait, car il écrit sa propre musique. J'adore sa musique et on en a discuté au cours des dernières années. Avec un peu de chance, on va trouver le temps et l'endroit pour le faire. Ça serait un rêve absolu!», s'exclame-t-il.

Après une première incursion au cinéma dans Precious de Lee Daniels, on retrouvera Lenny Kravitz dans The Hunger Games de Gary Ross au printemps 2012 aux côtés de Jennifer Lawrence, Elizabeth Banks, John C Reilly et Stanley Tucci. L'artiste exprime aussi sa créativité à travers le design d'intérieur, une passion qu'il chérit depuis maintenant 13 ans. «Je travaille actuellement sur une tour de 48 étages à Miami et je m'occupe du design d'un étage du nouvel hôtel de Philippe Starck, également à Miami. Il m'a beaucoup encouragé dès le début de ma carrière de designer, c'est incroyable de travailler avec l'un des meilleurs créateurs de notre temps. J'ai débuté il y a de nombreuses années en créant mes meubles, puis j'ai ouvert un bureau dans lequel j'ai mis beaucoup d'efforts. Je crée de manière organique et donne à cet art le respect qu'il mérite. Ça fait 13 ans que j'ai ouvert ma société et là, ça explose!», conclut-il.

Black And White America, de Lenny Kravitz

Rock, Funk, Et Groove

Atlantic Records

Bon, la couleur musicale du site semble être bien marquée : pas rock
A noter qu'ils ont apprécié les titres que la plupart des membres n'a pas trop aimé. Comme quoi... :rolleyes:

[large]Lenny Kravitz : la renaissance ?[/large]
[small]musikplease.com | 27 août 2011 | News[/small]

Lenny Kravitz revient avec Black and White America un nouvel album inspiré et plus funky que jamais. C’est bien pour ça qu’on vous en parle ici.

Entre nous, la discographie de Lenny Kravitz pourrait facilement se limiter à ses 3 premiers albums (un peu comme Jamiroquai, Björk etc..).Mais Pour son dernier opus Black and White America il semble que Lenny Kravitz s’est rapproché de la magie son premier fait d’arme (Let Love Rules). Mais surtout, Lenny Kravitz a même mis un peu (beaucoup) de funk dans sa tambouille.

Black and White America porte bien son nom, un beau mélange de Black Music et de son Pop/Rock. Même si l’album reste assez inégal, on se régale du Boongie Drop (Feat. Jay Z & DJ Military). On se délecte avec le très sensuel Sunflower (Feat. Drake). Let’s Play >>

musikplease.com/lenny-kravitz-sunflower-20156