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Alors voila j'ecris depuis deja quelques années alors je voulais partager avec vous quelques un de mes textes. Juste comme ca en esperant qu'ils vous plaisent sinon c'est pas bien grave c'est tres subjectif et personel la poesie :langue:
Ange Ariel La nuit est mon refuge depuis déjà bien des années, Je peux y laisser mon âme libre, mon esprit errer Une nuit comme les autres enfin presque identique... Une chose s'est passée, une de ces choses magiques. J'ai rencontré une mère, une mère de coeur et de pensées. Un a un puis totalement mon coeur s'est ouvert, ses secrets, Terreur contre terreur, confidences pour confidences, Une lame pour un sourire, la douceur pour la violence. Ma haine sans fourreau ébloui par ses ailes, Mon amour rêvant de se blottir tout contre elle, De larmes en drames, de femme a femme, Me laissant bercer, me lassant d'être esseulée, Un peu vivre, sourire, et vibrer, Arrêter de hurler et lui offrir mon âme. Sylïanis Lirin Sa Une dernière chanson d'amour sur cette petite planète. . . Sous les doux rayons du soleil, étincelante, Son seul sourire trahi sa fragilité, Froid et distant, dénué de toute gaîté. Etouffé par le poids de sa force insouciante . Son âme ne connaît ni la peur ni le doute Etreignant ses amants d'un amour cannibale. Ange gardien et muse des soeurs immorales, Prélude a la pluie de sang, elle poursuit sa route . Exposant au monde entier ses oeuvres écarlates, Macabre beauté des vies fauchées à la hâte, Sans haine ni passion, tuer pour s'accomplir, . Cherchant au travers du combat cette lumière. Mais il n'existe pas d'armes non meurtrières. Nous ne protégeons rien, on ne peut que détruire. . . Hommage a quelqu'un de très cher! . Sylïanis Lirin Sa. Rêves . . La solitude n'est qu'une mauvaise habitude, Il est vrai que je ne respecte plus rien; Je crache sur la vie, le passé et le destin, J'avance seule, forte de mes certitudes. . La nuit lorsque les cris de mon passé résonnent, M'éveillant, harcelé par les larmes du Vent, Coupable de ce que j'ai perdu dans le sang, A genoux, priant mes frères qu'ils me pardonnent. . Mon père est décédé sans même me connaître, La fatalité n'a pas cru bon, me permettre De voir ma fille pousser son dernier soupir. . Décidé a me battre seulement pour moi Poursuivant cette destinée quelle qu'elle soit. Je ne vis que pour mourir avec le sourire. . . Sylïanis Lirin Sa. Enfin un qui vous rappellera bien mon esprit sans queue ni tete :langue: ) Eveil . J'ignore où tout cela finira! Le regard vers l’horizon, Le Ciel et la Terre à l’unisson Pour ce rêve qui ne se réalisera pas. . Ce monde et moi avons appris A vivre ensemble en harmonie Finalement j'ai aujourd'hui Bien plus de souvenirs ici . Certes tout est différent J’aime ses rires et ses chants Même si il est mourant Un léger espoir renaissant . Chassant la colère et la terreur Illuminer mes nuits d'un sourire Tout oublier et enfin vivre Laissant enfin une petite place au bonheur . Regardez, bleu ou gris Le ciel n'est il pas jolie? Les fleurs et les oiseaux tout mimi? Il est vrai, je préfère les rivières et les pies. . Une tite seconde vaporeuse Mon âme pure et gibbeuse Pas d'alcool, pas de beuz Je suis juste heureuse. . . SLS Voili voilou ! Bonne lecture  |
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sont jolis tes poèmes!!! j'allais dire "un peu torturé" mais non franchement c'est chouette :smile: !!
bé oué moi aussi j'suis une demi-modo, mais mieux vaut demi-modo ke pas-modo-du-tout :ok: !!  |
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Improvisation
L’espoir est comme une larme Naissant dans tes yeux Suivant délicatement ta joue Et tombant dans te mains Ensanglanté A force de taper Sur le mur du temps et de l'espoir Ton âme impuissante S’effondre Désirant la seule chose k'on lui refuse Mourir et disparaître Être en paix une fois depuis cette éternité Mourir et oublier ce qui s'est passe Mourir et ne plus espérer Mourir et ne plus rêver Mourir et ne plus souffrir Mourir et ne plus se mentir Mourir juste mourir. Sylïanis Lirin Sa JOUISSANCE Enfin présente en ses bras, Les yeux s'emplissent de larmes Face a la passion des flammes. Tu rêvais tant de ce moment la; Sous ses doigts tu ressens Un éclair te déchirer les reins, Tu serres si fort sa main Espérant arrêter le temps. Les yeux se ferment doucement, Déjà tu ne sens plus sa présence C'est alors que ton âme s'élance. Tu comprends. Consciente lentement. Tu hurle!Tu hais! Fugitive pousser par son désir. Tu frappes! Pleure et délire Tu hurles! Jure de te venger. Tu le vois tenant ton corps, Désespéré, épleurée, Il te dit qu'il t'aimait, Te serrant plus fort. Alors que le tien c'est arrêté, Tu entends son coeur, Battre, battre, se battre contre la fureur A ce moment ton âme sait, L'amour ne vaincra jamais la mort, La Foi ne t'offre pas de paradis, La fatalité n'est pas une ennemie, Toute tes Vies tu as eu tort! Sylianis Lirin Sa SANS TITRE Attendre tout une éternité Se battre ne jamais désespérer Lorsque enfin je m'éveille Tout ce trouble, tout s'enraille Aveuglée par une froide cruauté Par un mirage de supériorité La Force s'est épuisée A frapper, hurler, pleurer Chaque jour, souffrir Mais ne jamais mourir Aujourd'hui plus rien ne doit exister De ce chez moi dont j'ai tant rêvé Cette nuit où je me suis vu Ma haine a disparu Le rêve et l'espoir m'ont quittés Dans cette course effrénée Avancer, ne pas abandonner Ne pas oublier, se venger Mais aujourd'hui ces drames Ces questions, ces larmes J'ais oublié de protéger Ceux que j'aimais Je n'ais plus qu'un seul désir Je ne veux pas mourir. Sylianis Lirin Sa P.S: Je suis en train d'en finir un je vous le ferais parvenir en prime time :langue: Il s'appellera Voeux ... Enfin dans ma derniere idée |
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Les deux derniers poemes de mon cru.
Voeux Tout ce que je touche se fane et se flétrie. Je ne suis qu’une ombre glissant dans les silences, Un cœur et un esprit sans reflets ni consistance, De poussiéreuses espérances trahis sans cris. J’ai eu beau tenter de me battre tout ce temps, Mon amour a eu raison de mes certitudes, Ma haine ne peut exprimer ma gratitude, Jamais de mes larmes ne naîtra un enfant. Cet ange aux ailes de feu me l'avait dis, Les signes apparaissent petit à petit. Je ne peux plus continuer à me mentir. Je n’ai pas en mes yeux de flamme à étouffer Même si je n’ai pas d’âme à protéger Je souhaite ne pas avoir à déjà mourir. Sylïanis Lirin Sa. Prière Le vent faisait vibrer mes ailes, La pluie me fouettait le visage, Le Cœur empli de cette rage Pleine d’espoirs, vaine et cruelle. J’y ai cru toutes ces années Combattant la fatalité Chaque nuit pleurant un miracle. Exsangue face a la débâcle, Je souhaite revoir ceux que j’aime Pour leur avouer ma faiblesse, Pour leur avouer ma détresse Confesser combien j’ais de peine De les abandonner si tôt. Juste un ultime souhait, mon dieu, Que mes larmes m’ouvrent les cieux Et fassent de moi une étoile. Sylïanis Lirin Sa. Voila il se peux que j'arrete d'ecrire mais rien n'est moins sur, la poesie ca va ca vien  Merci de me laisser vous faire partager tout cela. |
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